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A propos des vingt ans de chanson de Christopher le 14 Décembre 2019.

“Fêter ses vingt ans sans la tentation de la grandiloquence, par une soirée qui n’est pas tout à fait un concert, à peine un spectacle.
Un peu comme une veillée. En tout cas des retrouvailles”.

Michel Kemper – Nos Enchanteurs – Décembre 2019

A propos de l’album “Ton campement dans ma tête” (2017)

“La langue est belle, élégante, ponctuée de quelques mots du parler
populaire stéphanois. Il nous sera facile de nous laisser prendre à
cette poésie là (…). Voilà chansons à rêver, à se laisser aller à un
zeste de mélancolie, au suave, au paisible. A la beauté de l’éphémère”.

Claude Fèvre – Chanter c’est lancer des balles – Mai 2017

“On avait dit le plus grand bien de son précédent opus (D’un océan à l’autre, il y a cinq ans déjà) et on avait raison. Là il pulvérise son plafond de verre et définitivement cesse d’être sage, normé. Murray se libère, se défoule (…) devient le chanteur accompli. Il est sorti du cocon. Il a fait sa mue et a mis du whisky et bien pire dans son thé : de l’électrique et ça lui va bien”.

Michel Kemper – Nos Enchanteurs – Mai 2017

“Déjà près de vingt ans que ce Stéphanois d’adoption cisèle ses chansons et les sème sur les scènes de France. À l’occasion de la sortie de son cinquième album, “Ton campement dans ma tête” , rencontre avec une plume aérienne et inspirée”.

Romain Gavidia – Le Progrès – Mai 2017

A propos des spectacles

“Si ce concert de Christopher Murray se conjugue au présent et tutoie l’avenir, il n’en fait pas moins le récit du passé et de bien
beaux compagnonnages, d’éducation populaire et de parcours artistiques
qui, pour modestes qu’il soient, n’en sont pas moins exceptionnels”.

Michel Kemper – Concert de sortie de l’album “Ton campement dans ma tête” – Nos Enchanteurs – Mai 2017

“Murray aime plus que tout les mélanges : paradoxalement c’est ça
qui fait cohérent chez lui et unit son répertoire. (…) L’art de
Christopher Murray est à l’exact croisement de la chanson, au mitan de
toutes les chansons, passé, présent et devenir, trouvère et troubadour
intemporel d’un commerce plus que séduisant. Là, en cette scène
festivalière, Murray et Gonnet ont fait mouche”.

Michel Kemper – Nos Enchanteurs – Décembre 2014

“Baroque et rock à la fois, l’expression est facile mais bien venue
: l’horizon musical de Christopher Murray est ce grand écart permanent.
Aussi vrai que son inspiration va d’un océan l’autre. Murray aime à
toucher des rives différentes, opposées. Avec toujours la même grâce…”

Michel Kemper – Nos Enchanteurs – Janvier 2013

“Un récital passionnant, qui passera sans ambages de l’humour à la
pure émotion, set d’une incroyable densité, à fleur de peau, au cœur des
mots. Avec deux musiciens tout aussi étonnants que lui. […] Le trio
transpire d’une rare et belle complicité. Hors quelques virées de Murray
au piano, c’est un trio soudé, classique en plein de sens, presque
baroque dans la posture : ils seraient poudrés et perruqués qu’ils ne
produiraient pas autrement. Car il y a vraie beauté en ce groupe […]. Et
du monde chez Christopher, pour vous raconter des histoires, faire
fonctionner la machine à frissons, parfois celle à rire […]. Des fables
drôles et bien foutues, des souvenirs d’adolescences, des blessures de
la vie aussi, involontaires mais efficaces tire-larmes. Et de l’amour…”.

Nos Enchanteurs, le blog de Michel Kemper – Mars 2010
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“Magnifique interprète accompagné de musiciens mutins, Christopher
Murray vient conter quelques souvenirs d’adolescent et on le suit
volontiers dans ses périgrinations. Les rythmes folkloriques, les textes
poétiques ou l’humour du “petit frenchie” font mouche : on passe un
sacré bon moment”.

Le progrès – 18/01/2009
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“Pour qui s’était absenté et n’avait vu Murray en scène depuis
quelque temps, le choc est d’importance et la surprise splendide. Le
discret chanteur, jadis un peu crispé à son piano, à sa guitare, est
désormais parfaitement à l’aise sur une scène. Ça se voit, ça se sent et
c’en est réjouissant, communicatif. […] Tantôt bucolique, tantôt grave,
drôle ou intime, Murray alterne les rôle, à l’aise en toutes
circonstances, définitivement rayonnant”.

Michel Kemper – L’Oreillette – 12/11/2007
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“Sur le ton de la conversation, l’air de rien, Christopher Murray
emmène son public bien plus loin qu’il ne s’y attendait […]. Sa recette ?
Des textes poétiques, toujours émouvants, […] qui touchent la
sensibilité du spectateur par leur justesse et leur profondeur. Des
accompagnements musicaux d’une originalité étonnante, jazzy, innovants.
Et une présence sur scène attachante, toute en sincérité”.

Marie-Anne Sablé – La Tribune – Le Progrès – 11/05/2006
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“La douceur des images, la sensualité de la voix, et les doigtés
aériens au piano s’encanaillaient parfois, faisaient bande à part pour
semer révolte dans les mots ou se payer une bonne tranche de rire. Le
quotidien prenait des claques, mais avec style. C’est celà, Christopher
Murray, une symphonie d‘émotions jouées façon musique de chambre”.

Gillette Duroure – La Tribune – Le Progrès – 13/12/2005
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« Vendredi soir, la voix de Murray s’est envolée vers un public ému
dès la première chanson. Les thèmes abordés touchent à la vie simple.
Les mots visent sans détour les souvenirs enfouis, les petites tragédies
qui gisent au fond du cœur […]. Personnage et objets sont investis
d’une âme que Murray regarde tantôt mélancolique, tantôt drôle, jamais
cynique. En sortant du spectacle, on a l’impression d’avoir rencontré un
Artiste, puisqu’il crée un autre monde, dont on se sent pourtant
familier ».

Caroline Drahi – La Tribune – Le Progrès (Mai 2003 – Bourg-en Bresse).
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« Un pur moment de vérité et de perfection musicale. Guitare à la
main ou poignets au dessus des touches du piano à queue, Christopher
Murray fait rêver par sa facilité à procurer autant d’émotion par la «
simple » manipulation de ces deux instruments à cordes […]. Un beau
spécimen de ce qu’on appelle la belle chanson française ».

Frédéric Sauron – La Tribune – Le Progrès (Février 2003 – St-Etienne).
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« Un piano, même pas à queue, une contrebasse, un batteur… et le
monde à portée de nous par des textes à l’écriture parfois malicieuse,
souvent tendre. Un monde dans lequel on se love par plaisir […]. Murray
est un chanteur précieux, parmi ceux qui comptent vraiment. Ou
compteront un beau jour. Un de plus à surajouter à une liste déjà
abondante ? Penserait-on à se plaindre d’un surcroît d’émotion, d’une
chanson intelligente et délicate qui parle directement au cœur des gens ?
»

Michel Kemper – La Tribune – Le Progrès (Mars 2002 – Firminy)
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A propos de l’album “D’un océan à l’autre” (2012)

“Un très bel univers, des textes écrits avec justesse et talent qui
suggèrent et n’expliquent pas, laissant la place à notre imaginaire.
Alternance de musiques et arrangements à la fois simples et soignés ;
une mention particulière pour l’ouverture sifflée et les chœurs : c’est
beau, original et non dénué d’humour…”

Centre de la chanson – Coup de coeur d’octobre 2013

“Les mots, touchants, en retenue, servent le propos avec
délicatesse. Mais quand il laisse la plume à d’autres, Christopher prend
un ton plus enjoué tout comme dans ses intermèdes exquis, tout en
exercice vocal (…). L’amitié est aussi au cœur de ce disque poétique.
Christopher qui joue pas moins de dix instruments, invite pléthore de
camarades musiciens. Ces derniers se fondent parfaitement dans les
arrangements et les orchestrations, souvent épurés, dépouillés, laissant
place à l’imaginaire et à la guitare, véritable deuxième voix de cet
opus ».

Chris Auziak – Francofans n°38 – Decembre 2012

“On savait Christopher Murray artisan appliqué, compagnon du tour
de chant et ce disque est témoin de cette trajectoire à l’instar de
l’œuvre accomplie avec le souci de la perfection et le savoir-faire
accumulé au fil du temps, au fil de sa traversée (…) Du bel ouvrage pour
ce voyageur, baladin aux « pieds nus » qui nous embarque avec son «
chant d’homme » sur son « chemin d’homme », cet assoiffé d’humanité qui
le clame avec justesse empruntant les mots de François Villon (« Je
meurs de soif au bord de la fontaine »). Une bien belle traversée !

Francis Panigada – Nos Enchanteurs – Novembre 2012

“Lalo, Gil Chovet, Bruno Ruiz ou Philippe Cléris… Tout ce beau
monde s’est groupé autour de Christopher Murray pour enregistrer avec
lui son quatrième album « D’un océan à l’autre ». Le chanteur,
compositeur, pianiste et guitariste y dévoile des titres ouvragés comme
de la joaillerie. Il murmure, on se marre, il est dingue, pas servile,
il frémit et jubile. Bref, il poursuit son talent avec cet opus”

Gillette Duroure – Le progrès – Novembre 2012

“ Après nombre de formules scéniques, dont un trio qui fit
merveille, après nombre de scènes, moult collaborations et rencontres,
le stéphanois Murray nous revient transformé, presque transfiguré. A
l’aise comme jamais dans ses statut et rôle de chanteur. On le savait
depuis son précédent album en public (“Côté scène” en 2008) : ce nouvel
opus studio le prouve plus encore. Avec talent, le sien et celui de
pléthore de musiciens conviés à ce brillant partage de son et de sens.”

Michel Kemper – Le Petit Format du Centre de la Chanson – Septembre 2012
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A propos de l’album “Côté scène” (2008)

“Ce nouvel album acoustique fleure bon les mots aigre-doux et les
musiques animales, de celles qui prennent note au creux du ventre […].
Christopher Murray le Frenchy vogue comme il sait si bien le faire,
porté par des tempêtes intérieures qui finissent en écume légères.
Chopin à la vigie, jazz sur le pont, mélopées slaves ou celtiques,
humour pétillant : le trio embrase, embrassant tous les styles pour n’en
former qu’un, le sien”.

Gillette Duroure – La Tribune – Le Progrès – 14/11/2008
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“La mutation est splendide pour ce stéphanois. Lui est venue la
plénitude du chant, son relief même, l’aisance scénique, la totale
décontraction […]. Ce live de huit titres (seulement !) nous montre,
avec brio, cette réelle transformation. Et appelle forcément – ou on n’y
comprends plus rien – un nouvel opus studio “.

Michel Kemper – Chorus n° 65 – Automne 08
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“Secondé par deux autres musiciens qui apportent des arrangements
aériens et épurés, Christopher Murray nous emmène en voyage au travers
de ces chansons aux influences parfois celtes […]. Ses textes sont
poétiques, sensibles, et toucheront à coup sûr chaque auditeur”.

Laure Boulaud – FrancoFans n°13 – Oct / Nov 2008
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A propos de l’album “La plus belle aurore” (2003)

“ Quelque part entre Romain Didier et Allain Leprest, la voix posée de Murray colle parfaitement à ces parenthèses enchantées”.

Stéphanie Thonnet – Chorus n° 50 – Hiver 04/05
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“Le tandem Andersson-Murray dévoile son vague-à-l’âme avec sensibilité et poésie. Sans jamais être moralisateur”.

Fabien Genest – La Tribune – Le Progrès.
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“… grand luxe d’enregistrement et beau compagnonnage : quatorze
musiciens et l’orchestre de l’Ecole Nationale de Musique et de Danse du
Nord-Isère. Murray, qui multiplie depuis deux ans les scènes, souvent en
de prestigieuses premières parties, prend visiblement grand plaisir.
Les textes sont d’un belle mélancolie ; le tout fait album d’une rare
exigence, qui ne s’écoute pas distraitement.”

Michel Kemper – La tribune- Le progrès
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« Nouvel album pour cet artiste discret, pudique et élégant, qui
dit l’avoir réalisé « à l’ancienne » […]. Le résultat est là, un disque
simple, mais plein de richesses, sincère et beau, loin de la fureur
d’aujourd’hui, et pourtant si actuel, si nécessaire à notre temps ! Une
belle réussite ! ».

Francis Panigada – Chant’Essonne

A propos de l’album “Quel temps fais-tu?” (1999)

“ Christopher Murray passe avec bonheur à l’acte chansonnier : ça sonne joliment “.

Daniel Pantchenko – Chorus

“ Entre jeux de mots et maux authentiques, c’est bien de la comédie
humaine qu’il s’agit […] L’humour est omniprésent, le verbe canaille,
parfois pathétique, souvent trompeur […]. Les rimes sont riches et
l’émotion est grande pour peu que l’on y prête l’oreille […]. Un talent à
découvrir “

Rodolphe Zimmermann – Le Dauphiné Libéré

“ Un album sans fausse note. Elégant “

Francis Panigada – Chant’Essonne.
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Lune et cris de loup (Christopher Murray, Spectacle solo)

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La centième nuit (Chansons d’Anne Sylvestre, Trio acoustique)

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Télécharger la fiche technique son (format PDF)
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Écritures partagées

Plusieurs auteurs sont venus ajouter leurs mots à ceux de ma plume “nonchalente” : Jean Andersson, Gil Chovet, Jean-Claude Mourlevat (prix Astrid Lindgren 2021), puis Allain Leprest (qui m’offrit un texte lors d’un atelier d‘écriture), Lalo, Bruno Ruiz, Philippe Cléris… Peu se connaissent, mais leurs histoires se font écho, et chacun m’a amené sur des terrains musicaux différents.

Jean-Claude Mourlevat (voir son site).

Un p’tit tour chez Kent…

… pour une contribution amicale à l’album “Bienvenue au club” (2005). Accords massifs sur deux titres – album du retour au rock oblige – et quelques notes improvisées à la fin de la première chanson (éponyme)… Deux prises sur un piano bastringue, finalement mixées en une. Réaction de Kent à l‘écoute : “Brrrrrr… Ça fout la trouille”…

Le site de Kent

… et collaboration avec Lalo…

… qui écrit et compose pour elle-même, et aussi un peu pour Christopher, parfois à quatre mains. Parfois pour l’aider à terminer ou relire un texte en cours…

Le site de Lalo

Trio de passage

Le 4 Mai 2007 a vécu l‘éphémère “Trio de passage”, spectacle de chansons entremêlées, avec Michèle Bernard et le duo Gil Chovet / Annie Galley. C’est Pascal Essertel et Sonia Cotte qui ont voulu et réalisé ce projet. Une belle idée.

Chansons en papillotes

Une sacrée aventure que ce cd de 8 titres d’artistes ligériens de la chanson destiné au jeune public des écoles, collèges et écoles de musiques. Réalisé en 2006, il a donné lieu durant deux ans à une multitude d’interventions d’artistes dans les classes et de concerts avec les enfants et les jeunes. Les trois conseillers pédagogiques ligériens de l‘époque, Michel Barret, Sylvie Jambresic et Nadine Maisse, avaient su rassembler Michèle Bernard, Gil Chovet, François Forestier (sur un texte de Rémo Gary), Pascal Descamps, Laurent touche, Bruno Feugère, Yves Matrat et moi-même, et intéresser les éditions Lugdivine au projet, avec le concours de la Maîtrise de la Loire.

Il en reste le souvenir d’avoir pu rencontrer des artistes et nouer des amitiés, mais aussi d‘être allé au devant de l’incroyable diversité d’un département, d’avoir contribué à une dynamique très forte pour des milliers d’enfants et leurs enseignants sur des actions concrètes et de qualité.

Il était temps : quelques mois après, deux conseillers sur trois étaient renvoyés devant leurs classes, tandis que disparaissaient les Classes à Projet Culturels qui formaient le cadre de ces projets.

Pour se procurer ce double album (versions artistes, choeur et play-back) et son livret très complet, c’est ici : clic

Avec la Compagnie Beline

“Laissez chanter qui voudra”, c’est le spectacle de la Compagnie Beline qu‘Évelyne Girardon m’invite à rejoindre en octobre 2006. Du répertoire de tradition populaire en langue française, chanté a capella, avec le choeur du public en écho d’ arrangements vocaux d’une incroyable modernité. Quatre concerts à l’amphi de l’Opéra de Lyon et dans les jardins du Palais des Ducs à Dijon. Et le plaisir jubilatoire de la polyphonie avec 10 chanteurs d’exception.

Le 10 décembre 2011, je participe à l’incroyable déambulation dans le ventre de l’Opéra de Lyon (toujours lui) des “Réveillés de la Lune”, 40 chanteurs entremêlés avec le public se mouvant du sous-sol au salles les plus élevées, d’escalators en escaliers, à travers la grande salle, la scène, le foyer et même les loges !

En 2014, “Les réveillés de la lune” ont repris leur route à sept voix dont, le temps d’une saison, la mienne (voir ici la description du spectacle sur le site de la Cie Beline).

Compositions pour le théâtre :

Dernières compositions en date : les musiques de scène de “So sweet Swift” pour le Théâtre National de Nice (2009, adaptation et mise en scène : Jacques Bellay) et de “A tous ceux qui” de Noëlle Renaude, pour la Compagnie Nagananda de Pontoise (Prix Paris Jeune Talent 2006). (Voir le site)

En 2004, je recrée – en toute humilité et pour les besoins de la dramaturgie – la musique des divertissements de “Georges Dandin, ou le mari confondu”, de Molière, mis en scène par Jacques Bellay (Théâtre National de Nice / Théâtre National du Luxembourg).

Composer sur mesure et assurer le coaching (comme disent les français…) des comédiens… Une activité entre parenthèses… Pour le moment.

Opération coucou

Le spectacle “Opération coucou” a été co-écrit et créé pour la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) avec le comédien Romuald Bailly, pour le jeune public. Mais les adultes ont aimé aussi. Il faut dire que le texte de Romuald est formidablement bien écrit, fond et forme. Quant au comédien… Salut l’artiste !

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